L'histoire sans fin 2ème [clap]

Une fois ses liens enlevés il demanda à récuperer sa besace .L'homme lui répondit : "tu la récupereras à ton retour ! Je sais que tu reviendra .... "

"Et saches que si jamais tu nous trahis, où que tu ailles nous te retrouverons...Maintenant, mets toi en route !"
Le troll accompagna le Voyageur jusqu'à la sortie de la caverne...

sassmb a écrit:

J'ai mis un peu (doux euphémisme ...) d'ordre ds l'histoire. Ce n'est pas que Dudule et consort ne m'ont pas fait rire, vous savez que j'aime bien ce genre d'humour, mais QUE CEUX QUI NE SONT PAS INTERESSE PAR L'HISTOIRE SANS FIN NE SE FORCENT PAS A Y POSTER

Dommage on se marrait bien.........Allez , bye bye.

sassmb a écrit:

"Et saches que si jamais tu nous trahis, où que tu ailles nous te retrouverons...Maintenant, mets toi en route !"
Le troll accompagna le Voyageur jusqu'à la sortie de la caverne...

Habitué à l'obscurité de la caverne, il fut ébloui par le soleil. Le troll leva son bras afin de lui indiquer la direction à suivre pour rejoindre Bonaria, ce qu'il s'empressa de faire pour en finir au plus vite avec cette étrange mission.

...il prit le coli qu'on lui tendait, -il était bien léger- et se dirigea dans la direction indiquée par le troll....

A en croire les indications de son commanditaire, Bonaria était à moins d'une journée de marche. Le soleil n'était pas encore au zénith, ce qui signifiait que le Voyageur devait arriver à la tombée de la nuit.

Il décida qu'il ne ferait aucune pause et qu'il marcherait sans s'arrêter jusqu'au fameux village, mais...

le village etait loin et il avait mal aux petons, alors il se dit....................

... que malgré tout il ferait mieux de faire une halte. Ne sachant pas ce qui l'attendait une fois là bas, mieux valait en effet ne pas arriver trop éreinté.

Il décida donc de s'asseoir un instant à l'ombre d'un grand chêne et se mit à repenser à ce qui venait de lui arriver.

Il s'assoupit sans s'en rendre compte. Quand il se réveilla, il vit une épée, sur laquelle se trouvait un morceau de papier, posée à ses côtés.

Etrange, il n'avait rien entendu, se leva trés vite et se saisit de l'épée avant même de prendre connaissance du papier....

Il se dit qu'une épée lui sera toujours utile ! Il prit tout de même le soin de détacher le papier et...

...vis que seul deux mots y étaient inscrits, d'une belle et fine écriture calligraphique : "Une amie"

Il se demanda qui était cette femme qui prétendait être son amie et comment elle avait pu savoir où il se trouvait.

Il se rappella alors d'une certaine molette , une amie qui lui prenait souvent la tete. Un sentiment d'effroi parcouru son échine quand tout à coup.....................

il aperçut les premières maisons du village de BONARIA,surpris d'être déjà arrivé et sans encombre ! l'épée, légère contre sa cuisse, le billet dans sa poche.....

Il se mit en quête de la villa du notable .Il fallait demander son chemin.Il entra donc dans une taverne et se dit que se sera aussi l'occasion d'étancher sa soif .

Il s'avança vers le bar et demanda discrètement où se trouvait la villa du notable. A la seule évocation de son nom, le barman devint blème et répondit : "La villa de Seigneur Karkov ? Elle est dans le quartier ouest de la ville"

Il préféra ne pas poser de question de peur de se qu'il pourrait apprendre sur le destinataire du colis. Il paya son verre et prit la direction ouest...

il partit donc ,décidé à rester sur ses gardes ! les personnes qu'il rencontra sur le chemin ne firent pas attention à lui. C'est au détour d'une ruelle qu'il vit la villa .....

On aurait dit une forteresse avec ses grands murs infranchissables . La porte,toute faite de bois,était gigantestque. Il s'avança ...

et frappa trois grands coups histoire de se faire entendre. Quelques secondes plus tard, un vieil homme bossu et à la mine patibulaire entrouvra la porte et lui demanda le pourquoi de sa venue...

Le Voyageur était sceptique et ne su pas tout de suite que répondre. En effet, après tout ce qui s'était passé il s'attendait plus à être reçu par de grands gardes du corps que par un vieux bossu ... le mystère s'épaississait un peu plus.